Cinq questions à Alexandre Koc, gérant de Projet Technique (Antibes)

Publié le 02 juillet 2024

« Notre bureau d’études affirme sa spécialité dans l’énergie. »

Quels sont le profil et l’histoire de votre entreprise en quelques mots ?

Projet Technique est un bureau d’études créé en 2017, spécialisé dans les énergies et le génie électrique. Nous intervenons dans les domaines du tertiaire (45% de notre activité), du bâtiment (40%), du logement (10%) et des centres commerciaux (5%), dès l’amont du projet (phase permis) jusqu’à sa restitution. Nos activités englobent des sujets variés comme la recharge de véhicules, le solaire, le contrôle d’accès, l’éclairage, l’appareillage… pour le compte de promoteurs immobiliers, architectes, décorateurs et services techniques de grandes entreprises ou de collectivités. Le bureau emploie quatre personnes et a contribué à différents chantiers emblématiques de la Côte d’Azur dont l’immeuble Palazzo à Nice, l’Institut de Physique de Nice (IPN), le siège d’Amadeus à Villeneuve-Loubet, celui de Ragni à Cagnes-sur-Mer ou encore l’Anse du Portier à Monaco.

Quelle est sa valeur ajoutée ?

Contrairement aux bureaux d’études pluridisciplinaires, nous ne sous-traitons pas. Nous affirmons notre spécialité dans l’énergie, avec des pôles courant fort / courant faible, énergies renouvelables et gestion technique du bâtiment, des sujets que nous maîtrisons en interne.

Quels services de la CCI avez-vous utilisés et qu’en avez-vous retiré pour votre entreprise ?

Nous sommes adhérents du Club Energie Côte d’Azur. Ce dispositif développe une approche pluridisciplinaire du sujet, cherchant à faire intervenir une diversité d’interlocuteurs au travers de rencontres. C’est un outil très positif, à condition de s’en emparer : chacun en retire ce qu’il y met.

Quels sont vos priorités et besoins pour l’année à venir ?

Faire évoluer l’image de l’entreprise vis-à-vis de son territoire. Nous souhaitons être plus visible auprès des collectivités, lesquelles ont leurs habitudes qui vont parfois à l’encontre des bureaux d’études investis sur le territoire. Je plaide pour une préférence locale si l’on ne veut pas voir demain, les petits bureaux d’études et leur savoir-faire très spécialisé phagocytés par les grandes sociétés nationales.